La commission de surveillance du syndicat de l'eau entend se faire entendre

La commission de surveillance du syndicat de l'eau entend se faire entendre

Par Élodie SOUPAMA e.soupama@agmedias.fr
Jean-Claude Malo, président de la commission de surveillance du SMGEAG.
Jean-Claude Malo, président de la commission de surveillance du SMGEAG • ÉLODIE SOUPAMA

Vendredi matin, la commission de surveillance du SMGEAG, composée d'associations d'usagers, a tenu une conférence de presse. Entre préoccupations et compréhension vis-à-vis du nouveau syndicat, il s'agissait pour la commission de manifester sa présence.

La transparence. Ce mot inscrit dans l'article 19 de l'arrêté de création du Syndicat mixte de gestion de l'eau et de l'assainissement de Guadeloupe (SMGEAG) revêt une importance capitale pour la commission de surveillance qui, vendredi, a convié la presse pour mieux se faire connaître. Ses membres estiment qu'elle est trop peu connue. Raison pour laquelle a été lu, en début de rencontre, l'article de l'arrêté sur la création du SMGEAG portant sur le rôle de la commission. " Nous avons créé le syndicat mixte ouvert (SMO) pour qu'il y ait plus de transparence. Il faut que les choses soient visibles désormais. On peut comprendre les difficultés, mais il faut nous donner déjà en terme de calendrier, en terme de nature de travaux qu'on a commencés, en terme de facturation, des signes pour que l'usager soit de plus en plus rassuré. Le retour à la confiance est à ce prix. La transparence pour la confiance ", dit Marguerite Civis, membre de la commission.

Un besoin de clarté

En plus de cette volonté de transparence, il semblerait que le flou demeure à certains niveaux. Les membres de la commission ont longuement...

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