Selon le maire Christian Baptiste, 80% des
agents de catégorie C et 10% des agents de catégorie B ont été
victimes d'injustice et ont été payés en deçà de leur salaire
effectif car les revalorisations de carrière auxquelles ils avaient
droit auraient été bafouées depuis 2007 par l'ancienne équipe
municipale. Il évoque même l'éventualité que la chambre régionale
des comptes puisse trouver d'autres cas, notamment chez le
personnel de la caisse des écoles. Le maire affiche sa volonté de
respecter le droit des travailleurs et attend en retour que ces
derniers fassent leur devoir qui est de travailler. Christian
Baptiste sait, et l'a encore répété, que chaque agent est un
électeur qui a une famille. C'est peut-être ce qui l'a motivé à
aller au-delà de la réglementation pour satisfaire les agents
lésés. En effet, une loi du 31 décembre 1968 (loi
quadriennale...