Licenciement de Blaise Aldo : sa demande d'indemnisation rejetée

Licenciement de Blaise Aldo : sa demande d'indemnisation rejetée

Boris COLOMBET
À la vue des éléments examinés par le tribunal administratif, Blaise Aldo était un peu la « Pénélope Fillon » de la CASBT : s'il disposait d'un contrat de conseiller technique rémunéré au grade de directeur territorial, le travail qu'il fournissait réellement pose question. (DCL)
À la vue des éléments examinés par le tribunal administratif, Blaise Aldo était un peu la « Pénélope Fillon » de la CASBT : s'il disposait d'un contrat de conseiller technique rémunéré au grade de directeur territorial, le travail qu'il fournissait réellement pose question. (DCL)

Le tribunal administratif vient de rejeter la demande de Blaise Aldo qui réclamait un peu plus 120 000 euros à la CASBT au titre d'un licenciement qu'il estimait non fondé et vexatoire. La juridiction a semble-t-il trouvé que l'ex-maire de Sainte-Anne était payé à ne rien faire.

Dans deux jugements rendus à quelques semaines d'intervalle, le tribunal administratif de Guadeloupe a sévèrement tancé Baise Aldo, l'ex-élu, employé un temps, comme directeur territorial de la CASBT (Communauté d'agglomération du Sud Basse-Terre), où il n'a jamais brillé.
La première fois, c'était en décembre. Le tribunal annulait purement et simplement son recrutement en qualité « de conseiller technique au sein du cabinet de la présidente » - Lucette Michaux-Chevry - en raison d'une procédure entachée d'irrégularités. La seconde fois, mardi dernier, avec le rejet de la requête qu'il avait déposée pour que la CASBT l'indemnise après...

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