Les échanges acides entre Rodolphe
Alexandre et Gabriel Serville avaient déjà transpiré à l'occasion
de la démission de 17 médecins urgentistes à l'hôpital de Cayenne.
Dans un courrier adressé à la ministre de la Santé, le
parlementaire avait réclamé la tête du directeur de l'Agence
régionale de santé (ARS). Suite à cette missive, c'est Jean-Claude
Labrador, vice-président de la CTG, qui avait, au nom du président
de la Collectivité, pris à partie Gabriel Serville. « Je constate
que tu persistes dans un « cavalier seul » de plus en prenant l'ARS
comme « tête de Turc » alors que tu sais pertinemment que la
direction de l'hôpital, par des méthodes dilatoires, refuse
d'appliquer les dispositions...