Rodrigue Elice : « Pour sortir de la crise, il faut faire preuve de discipline et de prudence »
Plutôt disciplinés les carnavaliers guadeloupéens suivent les recommandations préfectorales et se réunissent dans leur locaux les dimanches de carnaval. Ils y organisent des rencontres pour maintenir l’illusion et atténuer les frustrations. Chez Toumblack, 43 ans au compteur, les membres ont décidé d’agir tout aussi sagement. Rencontre avec son président.
Avez-vous le sentiment que cette année est une année blanche pour les associations de carnaval ?
Cette année est particulière pour l’ensemble des associations. Principalement pour nous qui travaillons toute l’année pour vivre ce moment intense de 2 à 3 mois. Il faut être honnête, on ressent quand même comme un petit manque, les ateliers et les répétitions la semaine, les prestations le public le week-end, etc. Nous...