Une nuit au camp de la transportation

Une nuit au camp de la transportation

Samedi dernier, l’office de tourisme de Saint-Laurent-du-Maroni organisait une visite nocturne du camp de la Transportation. L’objectif ? Se mettre à la place des bagnards une fois la nuit tombée et tenter de ressentir ce qu’ils vivaient. Une trentaine de personnes ont participé à ce rendez-vous inhabituel. Le centre pénitentiaire a été fondé en 1857. Si aujourd’hui la ville s’appelle Saint-Laurent-Du-Maroni, c’est suite à la décision de l’amiral Laurent Baudin. Saint-Laurent pour le nom de son patron et Maroni par rapport à la proximité du fleuve. Texte & photos Fabienta PROSPER

Le rendez-vous était fixé sous l'un des manguiers centenaire à l'entrée du camp avec Claude Wayakalin. Là, il a débrifé sur l'histoire du camp de jour comme de nuit. La trentaine de participants, étaient très atttentifs à ses dires. © FABIENTA PROSPER

Les membres de l'office ont proposés au participants un petit apéro sympas qui a fait l'unanimité. Des jus locaux, une salade de couac, des amuses bouches, étaient à déguster. Malheureusement; les bagnards n'avaient pas droit à ce genre de régales. © FABIENTA PROSPER

En milieu de visite, les participants on pu s'abreuver d'un peu d'eau qui les attendait autour du puits profond de 6 mètres des bagnards. ils utilisaient cette eau pour leur corvée et pour s’altérer. © FABIENTA PROSPER

Une fois que les bagnards avaient leur eau, ils pouvaient se rendre au lavoir pour laver leurs vêtements. © FABIENTA PROSPER

La visite se poursuite vers le quartiers des condamnés à mort. Et sur ce lit en bois, dormaient pendant 4 mois environ, les condamnés à mort, ceux qui avaient commis de graves crimes comme un meurtre. Ils étaient ensuite passé à la guillotine. La nuit, on verrouillaient leurs pieds pour qu’ils ne puissent pas s'enfuir. © FABIENTA PROSPER

Les membres de l'office ont proposés au participants un petit apéro sympas qui a fait l'unanimité. Des jus locaux, une salade de couac, des amuses bouches, étaient à déguster. Malheureusement; les bagnards n'avaient pas droit à ce genre de régales.
Les membres de l'office ont proposés au participants un petit apéro sympas qui a fait l'unanimité. Des jus locaux, une salade de couac, des amuses bouches, étaient à déguster. Malheureusement; les bagnards n'avaient pas droit à ce genre de régales. • FABIENTA PROSPER
En milieu de visite, les participants on pu s'abreuver d'un peu d'eau qui les attendait autour du  puits profond de 6 mètres des bagnards. ils utilisaient cette eau pour leur corvée et pour s’altérer.
En milieu de visite, les participants on pu s'abreuver d'un peu d'eau qui les attendait autour du puits profond de 6 mètres des bagnards. ils utilisaient cette eau pour leur corvée et pour s’altérer. • FABIENTA PROSPER
Une fois que les bagnards avaient leur eau, ils pouvaient se rendre au lavoir pour laver leurs vêtements.
Une fois que les bagnards avaient leur eau, ils pouvaient se rendre au lavoir pour laver leurs vêtements. • FABIENTA PROSPER
La visite se poursuite vers le quartiers des condamnés à mort. Et sur ce lit en bois,  dormaient pendant 4 mois environ, les condamnés à mort, ceux qui avaient commis de graves crimes comme un meurtre. Ils étaient ensuite passé à la guillotine. La nuit, on  verrouillaient leurs pieds pour qu’ils ne puissent pas s'enfuir.
La visite se poursuite vers le quartiers des condamnés à mort. Et sur ce lit en bois, dormaient pendant 4 mois environ, les condamnés à mort, ceux qui avaient commis de graves crimes comme un meurtre. Ils étaient ensuite passé à la guillotine. La nuit, on verrouillaient leurs pieds pour qu’ils ne puissent pas s'enfuir. • FABIENTA PROSPER

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