Le barrage du port levé en fin d'après-midi
Mouvement social

Le barrage du port levé en fin d'après-midi

Gérôme GUITTEAU, g.guitteau@agmedias.fr
L'intersyndicale au port de Degrad-des-Cannes, mercredi 8 mars. De gauche à droite : Gilles Baudi, UTG, Christophe Madère, Unsa, M. Leroy, un enseignant, Marion Décavé de la Lutte des classes et Sabine Lagrèze de Solidaires. Un seul politicien est venu les soutenir : le député Davy Rimane. "Mais Jean-Victor Castor nous soutient aussi. Il était là les autres fois mais nous n'avons vu aucun sénateur. Personne d'autres", regrette Sabine Lagrèze.
L'intersyndicale au port de Degrad-des-Cannes, mercredi 8 mars. De gauche à droite : Gilles Baudi, UTG, Christophe Madère, Unsa, M. Leroy, un enseignant, Marion Décavé de la Lutte des classes et Sabine Lagrèze de Solidaires. Un seul politicien est venu les soutenir : le député Davy Rimane. "Mais Jean-Victor Castor nous soutient aussi. Il était là les autres fois mais nous n'avons vu aucun sénateur. Personne d'autres", regrette Sabine Lagrèze. • GG

L'intersyndicale a, comme promis, mis fin à son mouvement de 48 heures devant le Grand port maritime de Rémire-Montjoly, mercredi en fin d'après-midi. Par ailleurs, elle réfléchit à mener d'autres actions, "d'un niveau supérieur".

Le barrage du port de Degrad-des-Cannes aura tenu un peu plus de 36 heures. "Au moment le plus fort, prés de 300 personnes étaient présentes et essentiellement des femmes", assurent Sabine Lagrèze de Solidaires et Marion Décavé de la Lutte des classes, un nouveau syndicat enseignant.

Là, vers 14 heures, ils ne sont qu'une grosse dizaine de manifestants., les autres sont partis à une manifestation sur Cayenne pour la journée des droits de la femme.

Le succès de la première marche, en janvier, contre le projet de réforme des retraites du gouvernement semble très loin. "L'action était un peu secrète donc il est normal de ne pas retrouver le millier de personnes de la première manifestation", se dédouane Solidaires.

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